Il y a des livres qu’on ne lit pas seulement avec les yeux, mais avec le cœur. Des mots qui résonnent comme des battements – tantôt lents, tantôt fébriles. Ce recueil est un souffle : fragile parfois, ample souvent, toujours sincère. Il murmure à ceux qui ont pleuré en silence, à ceux qui ont cherché un ailleurs sans savoir où reposer leur douleur.
Dans cet écrin de douceur, Leïla Beggar livre une part de son âme, entre rêves de paix et soif d’exil. Telle une braise sous la cendre, sa plume se dresse face au tumulte du monde, pour mieux saisir l’invisible et se rapprocher de l’essentiel.