Format : 14 x 20 cm
Pages : 116 pages
Parution : juillet 2010
ISBN : 978-2-35485-170-5

Comme un chat dans la rue du Fondouk

Annie Varlet-Grancher

« Mon histoire ne commence pas le jour de ma naissance, je suis bien plus vieille que ça, j’existe dans la chaîne des générations qui m’ont précédée. »

D’une plume toute douce, l’auteur nous fait partager ici la somme de toutes ces petites histoires de famille, dont l’Algérie – celle d’hier et d’aujourd’hui – forme la trame.

On fait la connaissance de Ferdinand, né à Oran, qui rêvait de voir Venise et Hambourg ; Louis, le zouave illettré, qui a bien fait jaser dans le canton en épousant Noémie ; Gustave, qui a cessé de courtiser Marguerite pour ne plus avoir à affronter les loups… Et d’autres encore, Lison, Gabrielle, la tante Emma et la cousine Blanche, dont les histoires sont racontées comme remontent les souvenirs, dans un désordre assumé, à la faveur d’une lettre oubliée ou d’une photo de mariage sortie d’une vieille enveloppe.

Au fil des pages se tisse le portrait intime d’une famille, mais aussi d’un pays aimé que l’auteur appelle sa « Méditerranée amniotique ».

Annie Varlet-Grancher est née en Algérie. Elle a vingt ans quand elle doit quitter son pays et  celui de sa famille : quatre générations avant elle qui ont vécu là-bas. Elle vit aujourd’hui à Paris où elle est conteuse. Elle écrit des nouvelles qui se lisent et qui se racontent.